Commençons par la très bonne nouvelle : Quentin Dubroc (photo de une) qui avait obtenu sa qualification pour les Championnats de France UGSEL (l’équivalent de l’UNSS pour l’enseignement privé) obtient le titre de champion de France minime, parmi 26 prétendants. Toutes nos félicitations à lui. Cette belle performance confirme une saison très positive !
Laurie Wecxteen, elle, transformée pour la circonstance (on le lui pardonnera 😉  ) en fleurettiste, obtient une belle troisième place en cadet.

Enfin par équipe, l’équipe minime se classe 2ème et l’équipe cadette 3ème. Nos deux escrimeurs reviennent donc avec un beau palmarès. Et bravo à Pascal Deroussent, coach des tireurs, et compétiteur aussi du groupe loisir du CED.

                      L’équipe régionale de Laurie                   Celle de Quentin

Samedi, Baptiste Bétrancourt-Couaillet et Louis Vervoitte étaient à Mâcon pour le championnat de France junior N1 (Baptiste et Louis sont cadet 2). A ce niveau, pas de poules faciles… Baptiste croise Houssam Elkord (ne perdant que 5-4…) ou Hendrick Lerus-Roulez tandis que Louis retrouve des cadets tels que Paul Allègre ou un junior comme Lucani… Baptiste avec 4 victoires et 2 défaites sort  à une belle 12ème place du classement tandis que Louis, blessé à la main non armée, obtient une victoire et se classe 58ème. Ils étaient 63 engagés.
Malheureusement en tableau de 64 Baptiste ne parvient pas à trouver la solution sur un adversaire à sa portée tandis que Louis perd sur Grégory Bon, son partenaire de pôle.
Au final, Baptiste se classe 36ème et Louis 59ème.
Quoi qu’il en soit et malgré la déception, retenons le positif de cette qualification. La saison dernière Louis était qualifié en N2, Baptiste, lui, ne s’était pas qualifié.

Nous voudrions enfin avoir une pensée pour Paul Allègre de Nevers, tireur exemplaire du circuit, sorti 2 des poules et qui a été privé de victoire en tableau de 64. Alors qu’à la mort subite l’arbitre avait accordé la touche à Paul, une réclamation a semble-t-il fait revenir le DTN sur sa décision de façon assez incompréhensible par rapport à la situation, à la touche elle-même. Rien selon nous ne pouvait le justifier, et surtout pas les photos montrées qui n’avaient aucune validité. La touche a été remise et Paul a perdu. Nous imaginons l’amertume (au moins).