Cercle d'Escrime de Douai

Actualité Compétition Résultats

Fêtes des jeunes-terminus

Ce week-end, clôture de la saison 2012-2013 avec le championnat de France minimes.

Le CED comptait dans ses rangs Lauriane et Juliette Thomas ainsi que Stéphan Kowalski.
                                         Stéphan, Maître CHotin, Lauriane et Juliette

Le samedi en individuel, les résultats, à l’image d’ailleurs de ceux de la ligue en général, toutes armes confondues, ont été frustrant.

Juliette et Lauriane perdent au premier tour (128) et se classent respectivement 70ème et 93ème sur 113 épéistes.

Stéphan perd en tableau de 64 et se classe 61ème.

Le lendemain, Lauriane a repris l’épée pour défendre les couleurs de la ligue mais l’équipe composée aussi de Charlotte Dubuisson, de Marie Cunin et de Myrna Féliho perd deux matchs consécutifs et se classe 25ème sur 26 équipes.

De son côté, Stéphan a fait équipe avec Matthis Boudjaoui-Ploix, Julien Defrance et Alexis Faccia. Frustré sans doute des résultats de la veille, Stéphan a comme l’on dit sorti une grande compétition, apportant un appui solide. L’équipe a fait un beau parcours, perdant le troisième match mais parvenant en finale N2 où elle s’est inclinée en offrant une belle résistance, menant même sur plusieurs relais. L’équipe se classe donc 6ème sur 30. Au final, le meilleur résultat et seule médaille de la ligue pour cette édition.


Matthis, Maître Chotin, Julien, Alexis, Stéphan

Bravo à tous, à Maître Chotin qui a suivi les garçons et à Antoine Bertout, arbitre de ligue.

                                                              Tous les Douaisiens !

NB : Côté arbitrage, notons que les arbitres, par peur souvent de DT, ont eu la gâchette facile sur la non-combativité après 15 secondes sans fer. Cette règle, si elle continue d’amener une telle frilosité, devrait être revue car elle semble estimer que jouer à touche touche du bout des pointes, à tricoter en chien de faïence revient à combattre quand une bonne préparation de jambes sans fer peut déclencher du jeu ou faire partie à tout le moins du jeu, d’une pression exercée sur un adversaire. Il suffit alors qu’un tireur esquive volontairement le fer (puisque le règlement indique « 15 secondes sans contact de fer » : donc, au pied de la lettre, le refus du contact n’est pas envisagé) et un assaut de 9 minutes peut se réduire, par la volonté d’un tireur, à 45 secondes en passant à la minute supplémentaire à 0-0… Ou un tireur à 3-0 à son avantage peut décider de refuser l’affrontement jusqu’à 15 ou 10 et aborder la dernière minute pleine et entière avec un avantage intéressant. Bref… à suivre : sans doute va-t-il falloir que les escrimeurs apprennent à tirer avec un compte à rebours en permanence dans la tête !

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

vérification: * Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.