Cercle d'Escrime de Douai

Actualité Vie de club

La fête du club
ou
les bonnes raisons pour s’inscrire au CED !

Nos hôtesses d’accueil !
Nos trois maîtres d’armes polyvalents :
Sébastien qui vous apprendra à défiler sur la piste,
Fred qui vous initiera au base-ball
et à Bruce (non, pas Bruce Lee, Bruce Springsteen !)
Mélanie qui vous fera découvrir la danse de la pluie et le tir à l’arc !

La possibilité de se faire faire des ordonnances à la louche !
Un indéfectible soutien à l’équipe de France de foot…
Une vraie culture interne de la liberté d’expression !

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Un Président la classe, qui toutefois ne semble pas tenir compte
des messages de ce blog de fin de saison…

 

Une protection rapprochée pour tous vos déplacements !

 

Une ouverture aux nouvelles technologies.

 

Une capacité d’émerveillement absolument intacte !


Un sens de l’accueil des âmes perdues.

 

 

Et pour finir, notre mascotte :
Monsieur JOYEUX !


Et puis il y a eu l’hommage au Maître par les Loisirs

Un cadeau d’abord :

Et « quelques » mots ensuite :

« Cher Maître,

sans dégagement en touche et parce qu’il faut toujours battre le fer tant qu’il est chaud, parce que la salle n’a pas encore refermé sa coquille, voilà quelques mots des loisirs pour mettre bas les masques et sans coup férir te dire toute notre chaleureuse reconnaissance. L’épée (non, nous ne parlons pas des pets au parfum si délicats de notre nouveau maître d’armes), l’épée, l’arme, voulons-nous dire, est devenue pour nous un rendez-vous important. Après une semaine de boulot, après l’heure de pointe, c’est une pointe à leurre que nous aimons venir agiter tous les vendredis. Là, durant une bonne heure, on se titille, on se cherche, certains visent les testicules surtout les miennes), Christelle et Raphaël jouent la vaisselle de la semaine, Jean apprend l’acupuncture à Fanny, Franco… file au sauna, et quand un vendredi nous n’entendons pas retentir un certain « Aïba ! » quelque chose nous manque. Bref, quand on se branche, c’est pour mieux débrancher du quotidien et des soucis.
Le vendredi soi, il n’y a que sur la piste que nous sommes en garde, sans nous dérober ; en dehors, entre amis, on baisse la garde, on se pose, on ne parade pas, on riposte parfois à un assaut moqueur de Charles, on se fend volontiers… d’un sourire ou d’un rire, om remise son ego (enfin le plus qu’on peut), on reprise… ses chaussettes, on flèche à la fraîche gorge sèche en hors piste vers notre Mère à tous : la grande Tireuse, celle qui mousse.
Le vendredi soir c’est retour aux fondamentaux du convivial, de l’amitié ; le vendredi soir, tu es là, Fred, notre maître d’armes sans drames, notre maître d’âme aussi, notre maître de musique pourquoi pas. Sur la piste on joue, on s’invente des partitions, on fait des gammes et bien des couacs aussi, on déploie notre jeu sur plusieurs octaves, surtout quand Christelle crie, parce que là, ça monte très haut ! En piste donc, c’est pas la messagerie rose mais c’est quand même le plaisir au bout du fil.
Alors bien sûr parfois on crie, on prend son épée pour une rapière, on se sent un peu gruyère, on commence un assaut en se disant « ce soir, celui-là j’vai m’le faire » mais on se rend compte que ce soir là, sans le fer, ça peut pas l’faire. Alors on décroche, en se disant que Gilette serait la bienvenue, l’épée à quatre lames, parce que des soirs il faudrait au moins ça pour faire mouche, pour ne pas être la tête de turc de toutes les têtes de pointe… Qu’importe, on sait que derrière on se vengera sur les chips, le saucisson ou les cacahuètes. Qu’importe parce que la fois d’après on se retrouvera pour jouer une autre partition.
Alors cher Maître, nous voulions te faire savoir (si tu ne le savais déjà) que tu nous es précieux ; et maintenant que de nouvelles fonctions t’appellent à la direction régionale de la ligue d’escrime, nous avons une suggestion à te faire. Enfin d’abord il est évident que nous comptons sur toi le vendredi soir ; mais au-delà, dans le travail des fondamentaux, il y a un point important : après la marche, parfois forcée, c’est la retraite. Alors on t’en conjure, pour nous les vieux, jeunes ou déjà vétérans qui tenons tant à notre régime spécial (certes riche en lipides), sous ton mandat, pas de réforme de la retraite, s’il te plaît, pas là, pas en épée !
Allez, on t’embrasse,

Les Loisirs »

2 Comment

  1. Mais ce n'était pas du tout une soirée déguisée, voyons. Nous sommes un club de gens sérieux ! Déjà qu'on doit se déguiser en escrimeurs, enfin surtout nous les loisirs.
    Mais bon, puisque tu insistes, je m'occupe de ça dans la journée, Tintin…

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